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I.P.C. Edition 2004
Syndrome occlusif : interruption du transit.
Trois symptômes d’intensité variable et de chronologie parfois décalée : occlusion fonctionnelle : iléus paralytique : épanchement péritonéal, foyer inflammatoire Occlusion mécanique : obstacle intrinsèque ou extrinsèque.
Il faut bien distinguer une occlusion maligne d’une occlusion bénigne
(adhérence, grêle radique).
- Occlusion haute : vomissements fréquents altérants rapidement la qualité de vie du Occlusion basse : gérable à l’Hôpital ou au domicile.
Bilan à réaliser : examen clinique avec auto-évaluation des symptômes du patient, scanner abdominal, abdomen sans préparation.
I.P.C. Edition 2004
III - Prise en charge thérapeutique médicamenteuse : a) Les anti-sécrétoires (occlusion haute) : Octréotide (analogue de la Somatostatine) : Sandostatine sous-cutanée
Diminution des sécrétions gastriques, biliaires et intestinales.
Diminution des sécrétions endocrines.
Diminution de la mobilité intestinale.
Traitement utilisé dans les occlusions hautes : 100 à 200 µg 3x/jour les trois premiers jours.
b) Les anti-sécrétoires anti-spasmodiques : S c o p o l a m i n e  (H y o s c i n e  ) à 0.5 mg (anti-cholinergique atropine)
Posologie 2.5 mg/jour en sous-cutané – attention aux risques d’effets centraux avec agitations, hallucinations, mydriase et attention aux surveillances particulières chez les patients atteints de glaucome et aux risques de rétention urinaire.
Scoburen (Butylbromure) à 20 mg (intra-musculaire, intra-veineux ou sous-
cutané) moins d’effets centraux que la Scopolamine.
Posologie : à débuter à 80 mg/jour et l’on peut augmenter jusqu’à 300 mg/jour.
On peut utiliser en sous-cutané à 20 à 40 mg sous-cutané 3x/jour. Les non-opioïdes ne sont pas efficaces dans l’occlusion intestinale : utiliser l’auto-titration par - Fentanyl : peu maniable en période d’instabilité douloureuse.
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d) Les anti-émétisants : priorité aux neuroleptiques (CTZ) : - Droleptan (Droperidol) : 2.5 à 5 mg/24 h – soit une à deux ampoules/24 h
- Halopéridol ou Haldol : 5 mg intra-veineux ou sous-cutané : 5 à 15 mg/jour en
trois injections sous-cutanées ou en intra-veineux en continu.
Attention : éviter le Métoclopramide – Primpéran – qui augmente le péristaltisme du
grêle et qui augmente les douleurs.
e) Les corticothérapies : absence de consensus actuel, utilisation sur Préférer le Soludécadron à 100 mg à J1 avec diminution de 10 mg tous les jours. Solumédrol de 300 à 500 mg/jour.
Posologie élevée si bonne tolérance neuro-psychique.
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III - Prise en charge non-médicamenteuse : En cas d’occlusion haute avec vomissements importants qui ne cèdent pas après sécrétoires, anti-émétiques, réaliser une vidage gastrique.
Sonde gastrique (solution rapide). Souvent, inconfort important du patient et peu désiré par ce dernier : ne pas oublier d’appliquer régulièrement des corps gras sur les narines, changer de côté la sonde régulièrement.
La sonde gastrique ne contre-indique pas une alimentation si le patient le souhaite.
En cas d’occlusion basse : laxatifs osmotiques de type Duphalac et Forlax ou lubrifiant Attention : pas de stimulant de la motricité digestive.
L’hyper-hydratation majore la douleur en augmentant l’hyper-sécrétion.
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Source: http://test02.iis6.domicile.fr/pro/intranet/strategies/soins_palliatifs_2004/occlusion.pdf

Minnesota's list of endangered, threatened, and special concern species

MINNESOTA'S LIST OF ENDANGERED, THREATENED, AND SPECIAL CONCERN SPECIES PURPOSE, SCOPE, AND RELATIONSHIP TO FEDERAL LAWS Department of Natural Resources (DNR) to adopt rules designating species meeting the statutory definitions ofendangered, threatened, or species of special concern. The resulting List of Endangered, Threatened, and Specialthe DNR to adopt rules that regulate

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